Contenu

Recherche par mot-clé: Roman BIOGRAPHIQUE

710 résultats. Page 35 sur 36.

Lu par : Barbara Sauser
Durée : 3h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15132
Résumé:Le roman d'Imre Kertész Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas ramasse en un soliloque convulsif, répétitif -et implacablement lucide- les soubresauts et les enchevêtrements de la mémoire d'un homme coincé entre l'expérience d'Auschwitz qui l'habite et l'écriture qui ne peut rien faire d'autre que la creuser. La déploration de l'enfant qui ne naîtra pas dit ainsi l'horreur de la condition humaine telle que la martèle le monde moderne. Hitler et quelques autres, assistés d'acquiescements et de silences innombrables, ont porté à l'incandescence cette rationalité d'une Histoire parfaitement explicable en effet -Auschwitz compris- où Hegel « maître d'hôtel de tous les dictateurs et chanceliers » croyait lire en transparence le salut de l'humanité. Après eux, à cause d'eux, il est temps de désespérer... A jamais ?
Durée : 6h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15162
Résumé:Une soirée ordinaire, fin décembre à New York. Joan Didion s'apprête à dîner avec son mari, l'écrivain John Gregory Dunne - quand ce dernier s'écroule sur la table de la salle à manger, victime d'une crise cardiaque foudroyante. Pendant une année entière, elle essaiera de se résoudre à la mort du compagnon de toute sa vie et de s'occuper de leur fille, plongée dans le coma à la suite d'une grave pneumonie. La souffrance, l'incompréhension, l'incrédulité, la méditation obsessionnelle autour de cet événement si commun et pourtant inconcevable : dans un récit impressionnant de sobriété et d'implacable honnêteté, Didion raconte la folie du deuil et dissèque, entre sécheresse clinique et monologue intérieur, la plus indicible expérience - et sa rédemption par la littérature...
Durée : 2h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15223
Résumé:« Si vous deveniez auteur vous perdriez la bienveillance des femmes, l'appui des hommes, vous sortiriez de votre classe sans être admise dans la leur. Ils n'adopteront jamais une femme auteur à mérite égal, ils en seront plus jaloux que d'un homme. Ils ne nous permettront jamais de les égaler, ni dans les sciences, ni dans la littérature ; car, avec l'éducation que nous recevons, ce serait les surpasser. » « Gouverneur » des enfants d'Orléans avant la Révolution, Caroline-Stéphanie-Félicité du Crest, comtesse de Genlis (1746-1830), est l'auteur d'une oeuvre considérable, presque entièrement oubliée aujourd'hui à l'exception de ses célèbres Mémoires publiés en 1825. Dans La Femme auteur, nouvelle sentimentale parue sous l'Empire, elle met en garde les femmes qui souhaitent sortir de leur condition et devenir célèbres grâce à la littérature.
Durée : 1h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15152
Résumé:« Mon papa était docteur. Il soignait les gens, des gens pas riches, qui souvent ne le payaient pas, mais ils lui offraient un verre en échange, parce que mon papa, il aimait bien boire un coup, plusieurs coups même, et le soir, quand il rentrait, il était bien fatigué. Quelquefois, il disait qu'il allait tuer maman, et puis moi aussi, parce que j'étais l'aîné et pas son préféré. Il était pas méchant, seulement un peu fou quand il avait beaucoup bu. Il a jamais tué personne, mon papa, il se vantait. » Jean-Louis Fournier raconte ses souvenirs d'enfance dans une ville de province, au milieu d'une famille pas tout à fait comme les autres, avec un papa docteur qui s'habille comme un clochard, fait ses visites en pantoufles, perd sa voiture dans un champ de betteraves. Un papa qui faisait rire ou qui faisait pleurer ?
Lu par : Evelyne Rochat
Durée : 7h. 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15195
Résumé:Les murs n'ont pas d'oreille, mais un tableau ? Difficile d'imaginer tout ce qu'une oeuvre d'art peut voir et entendre au cours de son existence. Elle passe par des moments de bonheur et des jours sombres, des instants exaltants et des nuits tragiques. Elle bouge, elle voyage, elle vit. Que dirait-elle si elle pouvait témoigner ? 'La Baronne James de Rothschild' (1844-1848) est certainement l'un des plus beaux portraits exécutés par Jean-Dominique Ingres. L'épouse du fondateur de la branche française de la dynastie bancaire était une femme brillante qui tenait salon. Elle reçut Chopin, Heine, Rossini, Balzac et tant d'autres, organisa les bals les plus courus de la capitale et tint son rang dans les milieux des Lettres, de l'art et de la politique. Son portrait raconte la France, les Rothschild, l'aristocratie et leur monde depuis deux siècles. Il dit ce qu'il a vécu et témoigne de ce qu'il vit, de ce qu'il voit des attitudes et de ce qu'il perçoit des conversations là où il est accroché, dans les hôtels particuliers parisiens des enfants de Betty, au château de Ferrières, au château de Neuschwanstein où Hitler entrepose les tableaux pillés par Goering pour son futur musée, aux cimaises de New York et de Londres où il sera exposé.
Durée : 3h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15198
Résumé:Après avoir raconté ses déboires professionnels dans 'Stupeur et tremblements', Amélie Nothomb révèle qu'à la même époque et au même endroit, elle a aussi été la fiancée d'un jeune homme très singulier.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 2h. 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15043
Résumé:Au fil des pages, le narrateur de Pierre Charras trace le portrait de celui qui fut son père, né en 1911. Avec des mots justes et simples, il ressuscite les cartes postales nostalgiques d'un bonheur familial fragile. Persévérant et obstiné, il se lance à l'assaut de son enfance comme on gravit une montagne. Il se fait archéologue émotionnel de l'histoire paternelle, comme si les mots pouvaient pallier l'absence. Hommage d'un fils à son père disparu, d'un enfant à ses parents
Lu par : Evelyne Rochat
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14993
Résumé:Jacques Chessex n'a jamais été un enfant: il prétend n'avoir pas connu ce bonheur, ni la nostalgie de ce bonheur. (...) Né en 1934 en terre calviniste, il a grandi sur les bords du lac Léman en simulant chaque jour la joie, la politesse, l'insouciance. Cette enfance-là n'en finissait pas: il rongeait son frein, aspirait à être un homme. A quinze ans, il découvrit l'amour, et, encouragé par son professeur, Jacques Mercanton, publia ses premiers poèmes dans sa vingtième année. C est alors que son père, Pierre Chessex, directeur de collège, étymologiste du Pays de Vaud, se tira une balle dans la tête. Pendant quatre jours, le fils veilla celui dont, tout à son impatience de devenir adulte, il n'avait pas su écouter le désespoir ni comprendre la violence. je n'aurai jamais assez de regret pour sonder et revivre le regret de cet aveuglement, écrit Jacques Chessex dans un livre magnifique et déchirant, un livre d'éternel orphelin où il explore son passé avec rage, explique sa propre autodestruction par l'alcool et conclut: Il y a en moi un poids de la douleur que rien, je le sais calmement, n'épuisera. Depuis Carabas, en 1971, Chessex n'avait pas écrit de texte autobiographique. Il s'était consacré au roman, à la nouvelle, à la poésie, à l'essai. Il s'évitait. Voici qu'il se retrouve sans s'épargner dans ce texte âpre qui témoigne d'une étonnante mémoire olfactive odeurs de la terre, du lac, des femmes almées, des tartes aux cerises que sa mère préparait, de la poussière de blé, odeur de son père qui agonise dans une chambre d'hôpital où son fils a laissé son âme et conçu, à tout jamais, une fascination pour " l'imparfait " et ses ruines. Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur
Durée : 1h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15020
Résumé:Sous prétexte d'aller chercher ses droits d'auteur à Londres, Kerouac flâne à travers l'Europe. Il découvre les charmes troubles de Tanger, les paysages de Cézanne, les promenades émerveillées dans Paris, la pluie normande et les brumes de Londres... Dans un brillant plaidoyer en faveur des vagabonds, il se place sous l'égide de Virgile, de Benjamin Franklin ou de Walt Whitman, pour revendiquer le droit à l'errance, aux nuits à la belle étoile, aux rencontres et à l'imprévu. Deux textes autobiographiques de l'auteur de Sur la route, un des témoins mythiques de la Beat Generation.
Lu par : Alain Maillard
Durée : 2h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14871
Résumé:Dans le troisième roman de Pierre Béguin, Terre de personne (L'Aire, 2004, Livre de la Fondation Schiller 2005), le narrateur pénètre en plein coeur de la forêt amazonienne à la recherche de tombes précolombiennes encore inexplorées. Il ne se doute pas que cette expédition va se transformer en une suite d'épreuves terrifiantes. Ce livre, qui peut se lire comme un captivant roman d'aventures, est aussi une tentative de réponse aux interrogations que posent la douleur et la mort. En corrigeant son manuscrit, six ans après l'avoir écrit, l'auteur s'aperçoit que la fiction qu'il a imaginée le renvoie au drame tout proche qui a bouleversé sa vie et celle de L***, sa femme : la perte, au bout d'une semaine d'angoisse insoutenable, d'un enfant longtemps attendu, ardemment désiré. Certes, les circonstances sont totalement différentes, mais cette mort injuste, scandaleuse, appartient, comme la descente aux enfers du pilleur de tombes, à un monde où, pour pouvoir survivre, il est impératif de trouver un sens à la souffrance. « Je ne voyais, note Pierre Béguin, que eux manières d'accomplir cette mission : cimenter du substrat même de cette tragédie ma relation avec L*** et raconter l'histoire de cet enfant à qui la vie n'avait laissé aucune chance. » C'est ce qui l'a décidé à écrire Jonathan, son premier ouvrage autobiographique. Un récit sobre, poignant, qui lui permet d'entrevoir, au-delà de la douleur et malgré son apparente absurdité, « une cohérence mystérieuse qui rayonne sur le cours des choses ». Yvette Z'Graggen
Lu par : Pierre Biner
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15090
Résumé:Frédéric Mitterrand nous emmène à Cannes, lors du dernier festival où il était invité à présider un jury d'enseignants. Journée après journée, il nous livre ses carnets secrets : ses rencontres, ses impressions, mais aussi les souvenirs très personnels que mémoire et mélancolie réveillent en lui. Un 'étoile et toiles' intime où l'on croise Anna Magnani et Pedro Almodovar, Rita Hayworth, John Huston et tant d'autres : la magie du septième art se mêle aux confessions d'un homme qui écrit pour 'se consoler comme il peut de ses remords'.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 9h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14781
Résumé:Fils d'une famille patricienne de Zurich, celui qui a écrit ce livre sous un pseudonyme fut ce qu'on appelle un enfant bien élevé. Dans la somptueuse villa, au bord du lac, régnait l'entente parfaite. Un certain ennui aussi, qui tient à la bienséance. Pressé d'écrire car il se sait condamné par un cancer qui ne lui laissera aucune chance, Zorn décrit les travers de ses parents et de la bourgeoisie suisse. Avec une ironie noire teintée d'humour, jamais les contraintes et les tabous qui pèsent, aujourd'hui encore, sur les esprits soi-disant libres, n'ont été analysés avec une telle pénétration. Jamais la fragilité de la personne, ce rapport, toujours précaire et menacé, entre le corps et l'âme, qu'escamote souvent l'usage commode du terme psychosomatique, n'a été décrite avec une telle lucidité, dans une écriture volontairement neutre, par celui qui constate ici, très simplement, qu'il a été " éduqué à mort ". Il avait trente-deux ans.
Lu par : Alain Maillard
Durée : 7h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15365
Résumé:Un Roman russe ne dévoile rien de son contenu, pourtant bouleversant, à travers son titre. Après avoir décrit la dérive d'une femme saisie par la passion du jeu (Hors d'atteinte?, 1988), les angoisses d'un petit garçon qui sent une menace rôder tout près de lui (La Classe de neige, 1995) ou la vie de mensonges de Jean-Claude Romand, faux médecin et assassin de sa famille (L'Adversaire, 2000), Emmanuel Carrère évoque ici la folie et l'horreur qui ont obsédé sa vie. Comment, croyant y échapper grâce à l'amour et à une enquête, la folie et l'horreur l'ont rattrapé. Et pourquoi il se résout à exorciser publiquement le fantôme de son grand-père maternel, source selon lui de tous ses maux. Ce grand-père, Georges Zourabichvili (Tiflis 1898-Bordeaux 1944), hante la vie de ses descendants - deux enfants et cinq petits-enfants eux-mêmes parents - depuis sa disparition, quand des hommes armés de mitraillettes ont fait monter dans leur traction avant, à la libération de Bordeaux, celui qui depuis deux ans travaillait comme traducteur pour les services économiques allemands. On ne l'a jamais revu et sa femme et sa fille aînée Hélène ont fait le silence sur lui. Le suicide de l'un de ses cousins, l'an dernier, a sans doute déterminé l'écrivain à lever l'interdit maternel - on est tenté de dire l'oukase, s'agissant d'Hélène Carrère d'Encausse, éminente spécialiste de la Russie et secrétaire perpétuelle de l'Académie française...
Durée : 8h. 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14903
Résumé:A la fin des années 60, alors que Dublin résonne des sanglants conflits en Irlande du Nord, le héros de Sang impur, en grandissant, doit lui aussi affronter ses multiples démons : son père. le nationaliste autocrate qui interdit que l'on parle chez lui une autre langue que le gaélique, et sa mère, dont les origines allemandes le font traiter de " nazi " à l'école, et alourdissent encore le sentiment d'exclusion de l'adolescent. Chargé contre son gré du poids des souvenirs et des héritages parentaux, sommé de " choisir " entre John Lennon et Elisabeth Schwarzkopf, le jeune Hugo ne peut que se débattre, et ses déchirements font écho 'à ceux qui agitent le monde autour de lui. Car même dans. ce port où il se réfugie pour trouver dans la nature et la pêche un apaisement à ses questions, la violence et la peur le rattrapent... Cet été-là le verra partir pour l'Europe, avant de s'installer et travailler en Allemagne...
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14703
Résumé:... l' histoire d'une enfant surnommée Tapoussière tant elle était sale et tant la poussière lui collait à la peau. Tapoussière, abandonnée par sa mère Andela à la naissance et qui n'a jamais connu son père, avait grandi dans les jupons d'une grand-mère haute en couleurs, courageuse et fière qui voyait l'enfant comme un signe du destin : « Tu es mon double. T'as été choisie par les esprits pour mener à terme mes combats ! ». Cette vieille femme à la vision encore bien claire lui dispensa quelques leçons savoureuses : « Chaque fois que tu grimperas dans l'arbre, il y aura toujours un imbécile en dessous qui criera : Regardez, elle a un trou dans sa culotte-euu ! T'auras deux solutions : soit tu te retourneras et tu tomberas - soit tu continueras à grimper dans l'arbre ! » Une enfance pleine de petits combats pour la vie, de petites et grandes leçons, de petites et grandes humiliations. Comme lorsqu'elle décida d'entrer dans le luxueux salon de l'Akwa Palace et qu'elle se fit virer du lieu sans ménagements par un « Nègre au biceps en acier » à qui elle donna du « Pardon, Missié ! Oui, Missié ». Un tic de langage qui lui reviendra, dit-elle, lorsque « vingt ans plus tard, ceux qui s'attablent avec Missié Riene Poussalire (critiques littéraires) dans la maison de Verlaine me prendront pour cible en dégustant leurs salades de chèvre : Salope ! Plagiaire ! » Dans ce roman carrément autobiographique, Calixthe Beyala confirme que si le talent de l'écrivain est contesté par certains, personne ne peut lui dénier un caractère trempé et un esprit combatif porté à son plus haut niveau. Suivant les conseils de sa grand-mère, Beyala a décidé de ne pas se retourner.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 11h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14636
Résumé:Cette première oeuvre d'Alphonse Daudet puise largement sa matière dans sa biographie. C'est bien lui, ce Daniel Eyssette, enfant du Midi exilé dans la brume lyonnaise après la faillite paternelle, qu'un professeur appelle avec dédain « le petit Chose ». C'est lui encore, ce pion de collège terrorisé par ses élèves, puis ce jeune homme pauvre, partagé entre rêves de gloire et tentations féminines, errant sur le pavé de la capitale... Proche à certains égards du naturalisme, sa peinture possède une certaine touche d'humour et de poésie. Daudet se sert de sa propre vie pour construire celle de son personnage mais il en simplifie et en stylise les données. Une première oeuvre de longue haleine et sans réflexion. « Aucun de mes livres n'a été écrit dans des conditions aussi capricieuses aussi désordonnées que celui-ci. » Daudet peint ce qu'il sent, ce qu'il voit, réinvente ses expériences et ses rencontres. C'est paradoxalement un auteur gai qui emploie dans cet ouvrage le ton de la confidence. Voici le roman d'une enfance humiliée, porteur d'une vision sociale sombre et d'une morale ambiguë, Le Petit Chose demeure un classique, entre Dickens et Zola. Comme les Lettres de mon moulin, il n'a rien perdu de sa fraîcheur. (Carole Garcia-Pocket)
Durée : 8h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14745
Résumé:Résumé du livre : 1935, sud de l'Angleterre. Un homme va mourir, victime d'un grave accident de moto. Dans le coma qui le gagne, lui reviennent des souvenirs d'enfance, d'exils, de fugues. A-t-il cherché à disparaître ? La lumière qui l'enveloppa durant trois années de sa vie fut glorieuse mais trop aveuglante. Depuis, ce héros malgré lui n'a cessé de fuir. Poursuivi par la presse et les services secrets, rongé par le besoin de s'effacer, de se détruire, il n'a jamais vraiment su qui il était, ni même comment il se nommait. Seuls ces déserts d'Orient qu'il a tant aimés sauront l'apaiser. Du moins, l'espère-t-il. Son frère va l'y aider, de la plus incroyable façon. Deux femmes, qui rôdent autour de lui comme deux remords, seront là, elles aussi, jusqu'au dernier moment.
Durée : 9h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14658
Résumé:Madeleine écoutait, haletante. J'étais assis derrière elle, aussi près que le permettait le dossier de son fauteuil, où je m'appuyais. Elle s'y renversait aussi de temps en temps, au point que ses cheveux me balayaient les lèvres. Elle ne pouvait pas faire un geste de mon côté que je ne sentisse aussitôt son souffle inégal, et je le respirais comme une ardeur de plus... Chaque respiration de sa poitrine, en se communiquant du siège à mon bras, m'imprimait à moi-même un mouvement convulsif tout pareil à celui de ma propre vie. C'était à croire que le même souffle nous animait à la fois d'une existence indivisible, et que le sang de Madeleine et non plus le mien circulait dans mon coeur entièrement dépossédé par l'amour.
Durée : 8h. 32min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 14792
Résumé:La famille Durrell ne supportant plus le morne climat britannique, elle décide - comme le ferait n'importe quelle famille sensée - de quitter l'Angleterre et part s'installer sur l'île de Corfou. Pour le jeune Gerry, âgé de dix ans, commence alors une période de fantaisie et de liberté consacrée à l'observation des serpents, scorpions, tortues, lézards, goélands et autres créatures qui peuplent l'île. Et lorsque cette fabuleuse ménagerie croise le chemin de la très originale famille Durrell il s'ensuit une série de catastrophes irrésistibles. Ma famille et autres animaux est le récit hilarant des premières découvertes de la nature et des animaux. Cette joyeuse chronique familiale est devenue un classique de l'humour anglais.
Durée : 3h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14577
Résumé:Marie Rouanet égrène ses souvenirs et se rappelle son enfance, son adolescence et sa vie de jeune femme. Apparaissent alors la vaisselle, le travail minutieux de la couture, les ornières boueuses, l'abattage du cochon, la cuisine du lard, les mouches, l'odeur des pots de chambre, les lourds seaux en fer à remplir à la source...